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Nouvelles du Fandom

Un livre interdit : « Militer »

J’ai rédigé une histoire d’une partie de ma vie, celle d’éditeur et d’auteur. Je l’ai appelée « Fandom ». J’ai réuni ce texte avec un autre texte, autobiographique aussi, appelé « L’appareil » auquel j’ai ajouté ma nouvelle philosophique « Le Spectre ».

Ma foi je suis bien content de mon ouvrage. Je l’ai proposé à l’éditeur Le Manuscrit qui l’a accepté. Vous noterez qu’en l’acceptant il n’a pas trouvé à redire sur quoi que ce soit…

Lorsque j’ai annoncé la sortie de ce livre sur Internet, l’éditeur me fait savoir que Jean Claude Dunyach est intervenu pour le mettre en garde contre l’éventualité d’un procès en diffamation. J’ai en ma possession ce message de Dunyach. Puis l’éditeur me fait part d’un coup de fil d’un avocat ( !!!) Il faut dire que le brouillon de la partie « fandom » avait été mis à disposition sur Internet et Dunyach avait dû en prendre connaissance. Je répète qu’il ne s’agissait que d’un brouillon, qui a beaucoup évolué ensuite… Cet individu aurait pu m’envoyer un message pour me demander de retirer certaines choses. Mais il ne l’a pas fait.

L’éditeur me demande de revoir mon texte. Ce que je fais et l’éditeur publie la nouvelle version. Mais cela n’arrête pas les censeurs qui ont dû violemment intervenir pour que l’éditeur, mal à l’aise, me prévienne qu’il a retiré le livre de la vente car il craint un procès en diffamation (c’est un petit éditeur, il n’a pas les moyens de s’engager dans un procès)….

Je dois dire également qu’Alain Névant (qui fut rédacteur en chef de Sfmag jusqu’au numéro 8)  m’a fait savoir et me l’a dit, qu’il n’était pas content que j’écrive qu’il m’avait vendu sfmag alors que les 8 numéros qu’il avait eus en charge avaient réalisé un déficit de 2,8 Millions de francs. Que cela ne lui plaise pas que je le dise, je le comprends, d’autant plus que c’est vrai et que je dispose d’une copie de l’acte de vente de Sfmag qui stipule clairement le montant de ce déficit. J’attends donc le procès en diffamation !

Il faut ajouter aussi que Jean Claude Dunyach est directeur de collection chez Bragelonne dont le gérant est…. Alain Névant !

Ces gens ont réussi à empêcher l’édition de mon livre « Militer » ce qui constitue un précédent incroyable dans l’histoire du fandom SF….

Comme j’ai publié mon livre « Fandom » sur http://www.inlibroveritas.net  et que le procès en diffamation n’est pas venu, Le Manuscrit a donc fini par publier mon livre « Militer » qui est disponible sur le site de l’éditeur (depuis le 11 mai 2005, date de sa première publication, retiré de la vente puis remis en vente en octobre 2005) et en librairie (voir les liens en page d’accueil).
"Fandom" est disponible en PDF en téléchargement gratuit :
http://www.alainpelosato.com/livres/fandom.pdf

 

Infos sur les éditions Naturellement (09/10/2005)

 

Nouvelles de la maison d'édition Editions Naturellement.
1) Le tribunal de commerce de Bobigny a déclaré récemment que le gérant (moi, j'étais gérant minoritaire non rémunéré) n'était pas responsable de la faillite des éditions Naturellement
2) Le tribunal de commerce de Bobigny vient de clore la liquidation judiciaire des éditions Naturellement.
Je me réjouis que la justice de ce pays m'a rendu mon honneur bafoué par quelques individus du FandomSF.


Je constate donc que monsieur Dunyach s'est rendu responsable d'une grave calomnie à mon égard en écrivant sur la liste SFFranquiste (c'est ainsi que je nomme la liste SFfranco) :
" Les très petites maisons d'édition honnêtement gérées et, surtout, gérées AVEC PROFESSIONNALISME, s'en tirent. J'en connais de nombreux exemples. A côté de ca, il y a des faillites frauduleuses" (Voir ci-dessous "paroles de Dunyach")

De fait, devant ces calomnies, monsieur Trudel, modérateur de la liste m'en avait exclu.

Depuis cette date (juillet 2000) cette équipe n'a cessé de développer ces calomnies dans le fandom.

Je dois également vous informer que les dirigeants de l'association PDE et les modérateurs de la liste PDE se sont portés solidaires de ces calomnies en m'interdisant de rétablir la vérité.

Que Monsieur Heil Herr Dahl (c'est ainsi que je nomme le sieur Ayerdhal) s'est également rendu responsable de calomnies en  me traitant d'escroc (je dispose de messages qu'il a envoyés à mes collaborateurs).

 

Je rappelle également que monsieur Dunyach a envoyé un message à mon éditeur le menaçant de poursuites pour l'édition de mon livre "Militer".

Malgré les pressions, ce livre va paraître prochainement...


Amitiés à tous,

 

Communiqué d’Alain Pelosato du 3 juin 2004

Je dois vous donner des informations au sujet des publications suivantes annoncées sur Internet : 

Éditions du CHABERNAK
Mini-Phénix (articles, interview, bio-bibliographie, nouvelle)
N°1 : "Johan Héliot" par Bruno Peeters (02/04-28 p.-5 EUR)
2-930401-00-1, nouvelle "Baphomet au beau fixe"
N°2 : "Valerio Evangelisti" par Roland Ernould (02/04-72 p.-10 EUR)
2-930401-01-X, chapitre 9 "Skinheads" des Chaînes d'Eymerich (inédit
en français suite à la profanation du cimetière juif de Carpentras)
N°3 : "Graham Masterton" par Christophe Corthouts (02/04-28 p.-5 EUR)
2-930401-02-8
N°4 : "Christophe Lambert" par Christophe Corthouts (02/04-28 p.-5 EUR)
2-930401-03-6
N°5 : "Bernard Simonay" par Bruno Peeters (02/04-28 p.-5 EUR)
2-930401-04-4
N°6 : "Roland C. Wagner" par Christophe Corthouts (02/04-28 p.-5 EUR)
2-930401-05-2, nouvelle "La chanson de Jimmy"
Cette "maison" d'édition est tenue par Marc Bailly qui fut directeur de collection chez Lefrancq (faillite en 1999) chez Association éditions Naturellement (faillite en 2001) et chez SARL éditions naturellement (faillite en 2003). Il fut aussi rédacteur en chef de Sfmag , et Corthouts rédacteur en chef adjoint. Sfmag qui est aujourd'hui assez mal en point en résultat de la gabegie de ces messieurs pendant quatre ans au cours desquels ils ont pourtant été payés pour (mal) faire leur boulot..
D'autre part la plupart des textes de ces "miniPhénix" sont des ressucées de textes déjà parus dans des numéros de Phénix édités par les éditions Naturellement. Ainsi par exemple, le chapitre 9 inédit de Valerio Evangelisti traduit par mon père Guy Pelosato a été publié par Marc Bailly sans autorisation du traducteur.
D'autres textes viennent de Sfmag et en aucun cas en tant que propriétaire du titre sfmag je n'ai donné l'autorisation de publier ces textes.. Je n'ai d'ailleurs pas été consulté. Je rappelle également qu’un texte publié dans une revue par un salarié de cette revue et écrit par lui ne lui appartient plus mais appartient à la revue…
Comment peut-on appeler cela ? Du pillage ?

Gentilhomme mais pas gentille femme

Serena Gentilhomme n’a pas apprécié que son roman publié aux éditions Naturellement (sept 1999) ait rencontré si peu de public (78 exemplaires vendus !)
Du coup elle en veut à l’éditeur et se montre excessivement agressive à mon encontre ici ou là.
Pour illustrer mes propos voici un extrait de sa prose sur le forum de fantastique.net (toujours disponible sur la toile) :
 "– et que, d'autre part, je déteste qu'on proute sur mon topic (qui va payer le désodorisant? Bailly & Pelosato, les deux charlots de l'édition, peut-être? J'en doute fort, puisqu'ils ont dû épuiser toutes leurs bombes pour anéantir la puanteur de décomposition éditoriale qui le poursuit tout partout) –"
Un petit chef-d'oeuvre de Serena Gentilhomme
Je n’ai pas le cœur ni le goût et ni l’odorat de reprendre ses citations xénophobes sur mon patronyme, parues sur la ML des éditions ODS. Pour une Italienne j’ai du mal à saisir…
J’ai décidé de ne pas porter l’affaire en justice convaincu que le tribunal relaxera la prévenue pour irresponsabilité…

Après l'amour, la haine...

Benoît Domis et Daniel Conrad sont fâchés avec moi. Allez savoir pourquoi !
Pourtant, il y a peu j'éditais dans ma propre collection leur anthologie "Ténèbres 2000" (31 mai 2000). Et voici ce qu'ils disent de moi dans leur préface : "Grâce à la passion et au courage d'un valeureux éditeur, Alain Pelosato,...". Un valeureux éditeur ont-ils écrit ! Pétard ! Jean-Claude va faire un infarctus !
A la fin, ils remercient et dédient cette anthologie à "Maître Alain Pelosato, notre mécène".
C'est pas trop non ?

Parfois rancunier, parfois non !

Richard Comballot vient d'éditer aux éditions Naturellement "Les Enfants du mirage", une magnifique anthologie de SF française. Il avait sollicité Jean-Claude Dunyach qui avait refusé car ce monsieur n'aime pas les éditions Naturellement (il ne m'aime pas moi, voir ci-dessous). Donc il n'y a pas J.C. Dunyach dans "Les enfants du mirage". Je me suis permis d'écrire mon dépit à ce Monsieur qui n'a pas daigné répondre.
Richard avait également sollicité Johan Héliot : refus avec le même ostracisme. Par contre ce cher Johan Héliot n'a pas craché dans la soupe cette fois pour se faire interviewer dans notre magazine Sfmag. On apprend dans cette interview qu'il est en train d'écrire un livre sous la direction de Jean-Claude Dunyach ! Ah ! Voilà, voilà... Mais au fait, c'est qui qui l'écrit le livre, Johan ou Jean Claude ?
Enfin, on a pu se passer d'eux pour l'antho. Magnifique l'antho. Elle s'appelle "Les Enfants du mirage". C'est le premier tome (les années 70) paru en sept 2001. Il y aura ensuite deux autres tomes (seul le deuxième est paru en mai 2002 juste avant le dépôt de bilan de la maison d'édition). Pas de regrets ?

Suite à ce petit commentaire perfide, Johan a voulu que je publie sa réponse (Datée du 01/03/2002).
Pour la réponse de Johan faut cliquer ici !

PERLES

Notées dans les pages du site « Infini », site excellent au demeurant :

Léa Silhol (Editions Oxymore) écrit : «Suite à un flot de soumissions de textes de manière folklorique (y compris romans par e-mail!)»
On peut aussi lire un peu plus bas sur la même page du site :
Les éditions Sycomore :
« Vous venez de terminer un ouvrage et vous souhaitez être publié. Les Éditions Sycomore reçoivent votre manuscrit par email. »
Si j’ai bien compris Léa, elle traite carrément les éditions Sycomore de « folklorique » !

SFFranco...

Il y a une liste de discussion sur Internet qui se veut rassembler l'élite francophone mondiale de la SF : elle s’appelle SFFranco. Dans ses débats on y constate régulièrement cette inquiétude de ne pas être reconnu, particulièrement par l’éducation nationale. Ce qu’Althusser appelait « L’appareil idéologique d’Etat. » Que la SF n’y soit pas reconnue, pour moi c’est bon signe, mais que les artisans de la SFF en souffrent ne l’est pas.

Nous y avons par ailleurs appris que Jean-Claude Dunyach avait, un jour, rassemblé un commando dans un salon du livre pour agresser un éditeur Roumain qui n’avait pas pu payer dans les temps certains écrivains. C’est lui-même qui l’a raconté. Drôle de méthodes. J’en ai connu d’autres à d’autres époques qui agressaient les éditeurs. Et Jean-Louis Trudel (le super gourou canadien de la liste) y a déclaré qu’on a le droit de traiter Pelosato de délinquant mais pas de malhonnête !
Résultat : j’ai été viré de la liste.

 
PAROLES DE DUNYACH :
 
Voici quelques extraits d'un message envoyé par 
Monsieur Jean-Claude Dunyach
à la liste SFfranco, message envoyé à l'aide de la boîte :
"Jean-Claude.dunyach@airbus.aeromatra.com" le 7 décembre 2000.
Ce message était titré : "Pelosato malhonnête"
Voici donc comment il prouve cette diffamation (les citations de M. Dunyach sont en gras): 
"il y a des faillites frauduleuses (Lefrancq, vous vous souvenez ?)"
(Ouh là là ! Quelle diffamation...)
"la bourgeoisie dont je m'honore de faire partie..."
(Ah, au moins en voilà un qui n'en a pas honte.)
"les prisons sont pleines de gens qui ont considéré 
en leur temps que la pauvreté était une excuse à l'escroquerie."
(Peut-être que JC Dunyach n'a pas lu "Les Misérables" de Victor Hugo...)
"A une dizaine, nous sommes simplement allé (sic) piller le stock
de cet éditeur indélicat et nous avons saisi 
les exemplaires qui nous revenaient"
(On pourra peut-être appeller l'auteur de ces lignes : J.C. la menace ?
Ou : faisons notre loi nous-mêmes : il y a aussi des irresponsables
comme ça dans les prisons...)
"Faites autre chose monsieur Pelosato. Je vous recommande les légumes
écologiques, sur lesquels vous pourrez répandre autant de fumier 
que vous souhaitez sans qu'ils se plaignent."
(Ah ! quelle estocade...)
Amusant non ? On pourrait presque conclure : "Travail, famille, patrie..."
Un bourgeois qui se lance éperdument à la rescousse de ses amis,
pour massacrer un pauvre petit éditeur.
Car, Jean-Claude Dunyach n'a jamais rien eu à faire en quoi que ce soit
avec les éditions Naturellement.
Pardi ! Et alors de quoi il se mêle ?

 


Dernières nouvelles : le génial Norman Molhant qui participe à notre liste SF-idees, a été interviewé par Sophie Payeur dans le magazine "Québec sciences".
Voici ce qu'on peut y lire :
Dans son milieu, on l'appelle le « savant fou ». Norman Molhant a fondé la Space Contact Coop, une coopérative de tourisme spatial, et gagne sa vie en concevant des logiciels. Mais il en veut plus encore. En attendant la première croisière interstellaire, il s'évade dans les mondes parallèles de la science-fiction. Richard Canal, Laurent Genefort, Jean-Claude Dunyach, d'Ayerdhal et bien d'autres auteurs lui ont soumis des manuscrits pour donner à leurs mondes imaginaires un maximum de crédibilité. Une vocation difficile s'il en est, mais notre homme avait de solides prédispositions; avant d'immigrer au Québec en 1970, il a grandi en Belgique, terre du surréalisme et du fantastique. Tout s'explique !
Québec Science :
Est-ce donc si important la crédibilité dans une histoire de science-fiction ? On penserait plutôt que les lecteurs veulent surtout rêver...
Norman Molhant :
Tout être humain s'intéresse aux choses qui l'étonnent et qu'il ne connaît pas. À part quelques scientifiques un peu fous, je crois que personne ne s'intéresse sérieusement à ce qui est totalement invraisemblable. La science-fiction est une littérature d'imaginaire, où on parle de choses inventées, mais où on a choisi de les présenter de manière plausible. Si l'histoire est trop débridée, le lecteur perd pied. Or on veut qu'il suive les personnages, qu'il comprenne ce qui leur arrive, qu'il se sente à la fois chez lui et dépaysé.
Q.S. :
À quel moment les auteurs font-ils appel à vous ?
N.M. :
Habituellement, les auteurs ont déjà terminé leur manuscrit. Ils me demandent alors ce qu'il faut changer pour que l'histoire soit vraisemblable. Je lis le texte, et j'applique mes connaissances scientifiques. Je démonte l'environnement, les êtres, les technologies qu'ils utilisent. Quand je vois une incohérence, je cherche à savoir où le bât blesse. Parfois, je fais des simulations par ordinateur, et souvent je découvre des situations carrément impossibles ! Je ne change pas l'histoire, mais je corrige les éléments secondaires du récit. Par exemple, dans un de ses romans, Elisabeth Vonarburg tenait absolument à ce qu'un brouillard épais entoure l'action. Mais dans le contexte de l'histoire cela ne se pouvait pas ! Je lui ai proposé de créer une géologie spéciale, j'ai calculé le régime des vents pour que la présence du brouillard soit crédible. En fait, je peins le décor. Mon travail est de le rendre cohérent, de façon à ne pas nuire au récit.