Le Vivre à Givors, journal « municipal » est utilisé par la majorité municipale

pour des attaques personnelles contre moi.

J'ai envoyé une lettre recommandée avec accusé de réception au directeur de la publication de ce torchon,

Le directeur de publication qui n'est autre que la soeur de Martial Passi, Muriel Goux.
Lors du conseil municipal du 18 décembre 2006, Denis Ribeyre, conseiller municipal d'opposition, a demandé à Passi pourquoi il avait nommé sa soeur directeur de publication de Vivre à Givors. Passi a répondu : « ça ne vous regarde pas ». Drôle de réponse d'un maire à un élu de son conseil municipal ! Lors de ce même conseil, Christian Reale a lu un texte ordurier en direction des quatre contribuables qui ont demandé que le conseil municipal porte plainte contre X, ce qui est assez maladroit de sa part, étant donné qu'il est acquéreur, comme Martial Passi1, d'un appartement dans l'immeuble l'Orée du Rhône concerné par cette demande des contribuables.

Quoi qu'il en soit, Vivre à Givors a consacré une page entière à des attaques personnelles contre ma personne. C'est un drôle d'usage d'un journal payé par l'ensemble des contribuables (y compris par moi...) un usage à des fins d'attaques personnelles dont sont coutumiers Passi, Vallin et Goubelly. Voici le droit de réponse que j'ai envoyé à madame Muriel Goux, soeur de Martial Passi, afin que, conformément à la loi, cette réponse soit insérée au même emplacement et avec la même surface

que les attaques proférées contre ma personne..



Droit de réponse de Mr Pelosato Alain

Dans le VAG de décembre 2006 messieurs Vallin et Goubelly écrivent que j’aurais trahi un ”idéal”.

Mais de quel idéal se réclament ces messieurs ? Celui des dictatures passées de Staline avec ses millions de déportés, ses massacres et son goulag ? Celui de la dictature sanglante de Pol Pot qui a massacré son propre peuple ? Celui de la dictature qui sévit toujours en Corée du Nord et ses famines, à Cuba avec ses prisonniers politiques, en Chine avec la famine qui sévit de nouveau dans les campagnes ?

C’est cela votre ”idéal” messieurs.

Eh bien ce n’est pas le mien !

Une ambition personnelle dites-vous ?

Oui, j’ai toujours eu une grande ambition personnelle : celle d’être au service des givordins et non pas au service de mes propres intérêts.

Mes idéaux ce sont la justice, la moralité et la déontologie, et ce sont ces idéaux qui m’ont conduit à démissionner du conseil municipal en septembre 2002.

Que cette démission suscite chez vous aigreur et frustration m’importe peu.


Dans le même Vivre à Givors, Passi me met également en cause avec mes trois amis de l'association des contribuables. Ces attaques personnelles contre nous quatre ont également fait l'objet d'une demande de droit de réponse à Muriel Goux, directeur de publication de Vivre à Givors.



1Non monsieur Frety, rapporter un simple fait n'est pas une diffamation. Ce qui est par contre diffamatoire c'est de le faire croire comme vous l'avez fait lors du conseil municipal du 18 décembre 2006.