«Ceux qui ont parlé de traîtrise, je leur laisse leur connerie dans la bouche»,
Fadela Amara


Dans un bulletin nommé "Le Citoyen" (donner un tel nom à ce torchon est une insulte à la République !) distribué dans les boîtes aux lettres de Grigny, René Balme, sans doute avec le concours de son complice Daniel Royer, ne manque pas, à chaque numéro de m'insulter personnellement ; je me demande en quoi ma vie privée et mes engagements personnels regardent ces individus ! Dans le dernier (début 2008) ils se sont gaussés de mon "parcours" politique. Eh bien voyez ci-dessous, un parcours identique au mien. Je ne parle que du parcours, bien sûr, et pas de la personnalité! Evidemment il ne me vient pas à l'idée de comparer la carrière d'écrivain de Max Gallo à la mienne. Mais... j'insiste, le "parcours" de l'engagement politique est identique... et bien d'autres choses encore...

Quel parcours ! Max Gallo

L'écrivain Max Gallo a été reçu, jeudi 31 janvier 2008, à l'Académie française lors d'une séance sous la Coupole au cours de laquelle l'évolution politique des individus a été défendue comme "un signe de liberté d'esprit".

A 76 ans, ce fils d'immigrés italiens installés à Nice a rappelé que son premier diplôme fut un CAP d'ajusteur, avant de prononcer l'éloge du philosophe Jean-François Revel, au fauteuil duquel il a été élu le 31 mai 2007. "Patriote intransigeant", Jean-François Revel s'est longtemps considéré comme un homme de gauche, avant de "changer de rive" dans les années 1970. "Sans regret, puisque Revel constate que ces donneurs de leçons n'ont rien compris à l'enjeu du siècle, à savoir la lutte à mort entre les totalitarismes et la démocratie", a-t-il souligné.

Dans sa réponse l'historien Alain Decaux a rappelé le parcours foisonnant de Max Gallo. D'abord membre du Parti communiste, qu'il quitte à l'âge de 24 ans, le futur écrivain, a-t-il dit, demeure "un homme de gauche".

Le nouvel académicien a cependant soutenu le candidat Nicolas Sarkozy durant la campagne présidentielle de 2007.
Le chef de l'Etat lui a rendu la politesse en assistant à son discours de réception.

Givors, le 12 avril 2008.