Politique de la ville :

Givors en crise depuis trente ans avec la

Gestion Sociale et Urbaine de Proximité

(GSUP)

 

 

La “Politique de la ville” trouve son origine au début des années 1980.

J’ai été élu maire-adjoint en 1983.

J’ai donc eu l’occasion de suivre de près cette politique de la ville qui a pour but d’aider la municipalité à sortir les quartiers défavorisés de la situation de misère dans laquelle ils sont.

A Givors, sont concernés : les Vernes, les tours Maurice Thorez et le centre ville.

Au début il n’y avait que le quartier des Vernes classé quartier sensible, puis ce quartier a été rejoint par le centre ville, et ensuite par les tours Maurice Thorez.

Il est à noter à quel point la politique des deux maires communistes successifs a échoué puisque le Centre ville de Givors est un quartier défavorisé. Or dans une ville n’est-ce pas le rôle d’un centre ville d’être attractif ? Hélas ce n’est pas le cas à Givors. Le quartier du centre ville étant celui des trois le plus dégradé.

Depuis 1983 je vois se succéder les rapports de la politique de la ville toujours très négatifs sur la situation dans ces quartiers. Malgré les sommes énormes englouties, la situation ne fait qu’empirer.

C’est encore le cas pour 2008 avec le rapport du GSUP…

Voir ici l’article du site du défi givordin sur ce rapport :

http://defigivordin.site.voila.fr/GSUP.htm

 

Passi a signé une convention avec l’ANRU, dispositif issu de la loi SRU votée par la gauche en 2000. Ce bilan négatif de la GSUP est directement issu de cette convention avec l’ANRU qui oblige notamment la mairie à construire encore des logements sociaux.

 

Givors, le 26 décembre 2009.