LA DUPLICITÉ ET LES MENSONGES DE M. Passi

Le 11 mars 2017 (vous avez bien lu la date), en accord avec Michelle Palandre, j'envoyai à M. Passi un courrier lui demandant de réunir le conseil municipal et de décider de la constitution de partie civile de la commune suite aux graves accusations de la chambre régionale des comptes (CRC) qui venait de porter plainte au pénal contre le maire pour détournements de fonds publics, prise illégale d'intérêt, faux et favoritisme.

Eh bien voici en pièce jointe la lettre qu'il m'a envoyée en réponse dans laquelle il indique : "Je vous informe que la commune n'a aucune autre information que celles transmises par la presse." (!) et il ajoute, très culotté : "Je remarque que vous faites état «d'actes et de faits qui ont indéniablement entraînés de graves préjudices financiers (et moraux) pour la commune » sur lesquels, je vous prie d'éclairer la commune." !!!

Or le rapport de la chambre régionale des comptes explique clairement : "L’entretien prévu par l’article L. 243-1 du code des juridictions financières a eu lieu le 23 septembre 2016 avec M. PASSI. Lors de sa séance du 8 décembre 2016, la chambre a formulé des observations provisoires qui ont été adressées le 13 février 2017 à M. PASSI, ainsi que, pour celles les concernant, aux personnes nominativement ou explicitement mises en cause."

M. Passi était parfaitement au courant du rapport de la CRC et de son intention de porter plainte.

Sa lettre que je vous mets en pièce jointe démontre que M. Passi a honteusement menti !
Alain Pelosato

Givors, le  28 décembre 2017

NB. Il faut noter qu’à cette date du 11 mars, M.Passi s’est fait porter pâle et n’est plus jamais revenu au conseil municipal sauf à celui du 25 septembre qui avait été convoqué pour élire son remplaçant puisqu’il avait démissionné après sa lourde condamnation au tribunal correctionnel. D’autre part il indique que la ville ne peut pas se constituer partie civile au stade où en est l’enquête judiciaire. Pourtant il peut le faire : il suffit que le maire porte plainte tout simplement et demande au conseil municipal de se constituer partie civile.

reponsePassiChambreDesComptes20170410-