Friche de VMC
Après la fermeture de VMC (2003), fermeture qui constitue
un nouvel échec de Martial Passi, ce dernier promet
580 emplois sur le site de l'usine fermée alors que pour le moment on ne
parlait que d'un aménageur trouvé par BSN ! Les 580 emplois étaient promis
par l'aménageur... Et la Mairie ne maîtrisait absolument pas cet aménagement
PRIVE !!!
NB : dans un article du
journal l'Humanité Hebdo de début avril 2004 Martial Passi
"promet" 680 emplois ! De mieux en mieux mais en septembre 2005 la
friche VMC est toujours là debout, ironique... Finalement Passi
confie l'aménagement de la friche de VMC à la CODEGI société d'économie mixte
de la ville dont il est le président, société qui va devenir Givors
développement.
Le site a été occupé tout cet hiver 2005-2006 par des gens du voyage...
Sont-ce là les 680 emplois promis par Martial Passi
?
Et voilà qu'on nous confirme que les promesses d'emplois sont du vent ! En
effet les concessionnaires automobile de Givors
veulent implanter sur ces terrains VMC un centre de concessionnaires auto.
Prévisions : maximum 100 emplois ! Voilà deux ans que Martial Passi nous a promis 680 emplois. Et encore, faut-il bien
comprendre que ces 100 emplois promis ne seront que des emplois transférés et
non pas créés !
Le "Pôle automobile" Nous
avons lu dans la presse que Passi a présenté son
"Pôle automobile". En fin de compte ce projet ne créera que... 50
emplois ! De 680 annoncés par Passi on termine à
50... Le site est toujours en friches... (septembre 2007)
Juin 2008 :
Après une intense campagne électorale au cours de laquelle Passi a utilisé la propagande des concessionnaires
automobiles, la zone de VMC reste désespérément vide. Il semblerait que de
graves difficultés se sont fait jour, difficultés dues à des erreurs de gestion . Lire ci-contre mon enquête dans la rubrique
"Cadre de Vie": les deux articles - "ZAC de VMC:
l'enquête" - "ZAC de VMC : la gabegie ?" et l'article
"Requête en annulation des permis de construire du pôle automobile".
L'association de défense des contribuables demande au maire de lui
communiquer le bilan de la ZAC de VMC. Le maire n'a pas répondu ! Voir ici
sur le site des contribuables le 2e courrier envoyé : http://givors.ovh.org/placedebansVMC2.pdf
Face à l'obstruction du maire qui ne respecte pas la loi en refusant de
fournir les documents administratifs demandés, l'association a saisi la CADA
qui condamne le maire à transmettre ces documents. Le maire persistant à se
mettre hors la loi, l'association saisit le tribunal administratif.
(17/01/2009)
Le Maire ne répondant pas à la requête le tribunal administratif le met en
demeure de répondre. Il finit par obtempérer par l'intermédiaire de son
avocat début juillet 2009. Notez que le maire paie un avocat avec les deniers
de la commune pour ne pas donner un document qui fut longtemps à la
disposition du public sur le site Internet de la ville de Givors.
En tant que président de l'association des contribuables, j'ai envoyé un
mémoire en réplique à celui des avocats de Passi.
L'affaire suit son cours.
Décembre 2010 :
Voir l'historique de l'affaire au tribunal administratif tel que dans mon
rapport d'activité à l'assemblée générale de l'association de défense des
contribuables:
Rapport
d'activité 2010 ADCG
Passi a demandé au grand Lyon de modifier le règlement
de la ZAC de VMC pour éviter à l'avenir de devoir faire face à d'autres
requêtes concernant le pôle automobile. Le règlement de la ZAC que Passi a toujours refusé de communiquer à l'association
des contribuables est dans le domaine public puisque publié sur le site du
grand Lyon et faisant l'objet d'une enquête publique... Passi
a dépensé l'argent des contribuables pour payer un avocat qui s'est escrimé à
faire croire au tribunal que ce règlement ne dépendait pas de la commune ni
du Grand Lyon!
Au printemps 2011, le tribunal administratif a fini par donner entièrement
tort à Passi et l'a condamné à communiquer tous les
documents demandés par l'association.
Mars 2014 :
C’est la campagne électorale des municipales. La zone d’activité de VMC est toujours au 2/3 vide !
Seuls quelques concessionnaires de Givors tentent de survivre. Le reste ne trouve pas preneur. Le concessionnaire Fiat a
quitté présipitemment les lieux, pourtant logé dans
un bâtiment construit apr Givors développement. Entre-temps,
M. Passi a trouvé le moyen de faciliter la tâche à
Givors développement en demandant à la commune de prendre en charge le coût de
la passerelle sur le Gier au pied de la cheminée.
Elle a coûté 800 000 euros ! Les Gens du voyage ont envahi le village
automobile à trois reprises. Car, il faut le savoir, depuis 2003, l’aire d’accueil
des gens du voyage de la route de Rive de Gier est
inutilisable ! Et cela fait 11 ans que le maire ne fait rien. En juin
2013, M. Passi fait délibérer le conseil municipal
pour réhabiliter cette aire d’accueil pour un montant de un million d’euros,
ce qui coûte 734 mille euros de trop comme le souligne l’opposition du Défi givordin.
Voir l’article du Défi givordin :
http://www.defigivordin.info/AIREGENSDUVOYAGE.htm
Malgré la gabegie de sa gestion, M. Passi
ne manque pas de solliciter les responsables des concessions automobiles pour
qu’ils appellent à voter pour lui aux municipales. Plusieurs d’entre eux l’ont
fait : Citroën, Renault, Ford, mélangeant ainsi les genres.
Givors développement doit présenter chaque année au
conseil municipal le CRACL (compte-rendu d’activité à la collective locale) sur
sa gestion de la ZAC de VMC. C’est la loi qui l’exige.
Depuis 2011 tous les CRACL ont été attaqués au tribunal
administratif par les élus du Défi givordin sous la
plume de Jean-Marc Bouffard. En juin 2014, le CRACL de l’année 2010, présenté
au conseil municipal du 3 octobre 2011 a été annulé par le tribunal administratif
pour abus de pouvoir. (La requête des élus du Défi givordin
avait été déposée en juillet 2011)
Voir l’article du Défi givordin
sur ce sujet : http://www.defigivordin.info/CRACL2010TA.htm
Nous attendons la décision du tribunal pour les CRACL
2011 et 2012…
Cette annulation du CRACL 2010 aura de graves
conséquences, car M. Passi devra le soumettre de
nouveau au conseil municipal, cette fois en respectant la loi et la règlementation.
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